jeudi 3 septembre 2015

La Lune Satellite naturel de la Terre



La Lune est un satellite naturel de la Terre .Sa temperature varie de -233°C a + 123° C
Une étude récente nous informe que la Lune s' est formé a la suite d' un impact majeur d' un objet nommée Théia et de notre Terre a l' époque de sa formation ! Les couches de débrits ejectés dans l' espace  ont formé la Lune avec le temps et la force gravitationnelle de la Terre
La Lune est similaire a la Terre niveau composition mais c est une "boule " froide
Elle est le cinquième plus grand satellite du systeme solaire avec un diamètre de 3 474 km. La distance moyenne séparant la Terre de la Lune est de 384 467 km
La Lune est le seul objet non terrestre  visité par l' Homme depuis la mission Apollo 11 un certain 21 Juillet 1969

Influence gravitationnelle sur la Terre:
- Les marées  
- Influence sur le Magma :Activité sismique
- Evolution des especes 
- l’obliquité  terrestre : l’obliquité de la Terre varie entre 21 et 24° environ par rapport a l ' équateur terrestre
-Calendrier Lunaire utilisés depuis l' Antiquité !

Orbite :
Tout comme le systeme Plutonien !( Charon et Pluton) la Terre et la Lune tourne autour d' un Barycentre ,comme le e barycentre se trouve à l’intérieur de la Terre, à environ 4 700 kilomètres de son centre, le mouvement de la Terre est généralement décrit comme une « oscillation», et le système Terre-Lune est donc le plus souvent considéré comme un système planète-satellite !

Composition:
On considère aujourd’hui que la Lune est un corps différencié : sa structure en profondeur n’est pas homogène mais résulte d’un processus de refroidissement, de cristallisation du magma originel, et de migration du magma évolué. Cette différenciation a résulté en une croûte (en surface) et un noyau (en profondeur), entre lesquels se trouve le manteau. Cette structure ressemble fortement à ce que l'on trouve pour l'intérieur de la Terre, aux dimensions absolues et relatives près, et surtout à la différence essentielle que la Lune est désormais très « froide » et n’est plus active comme l’est encore la Terre
 La croûte lunaire est composée d’une grande variété d’éléments : oxygène, silicium, magnésium, fer, titane, calcium, aluminium, potassium, uranium, thorium et hydrogène. Sous l’effet du bombardement par les rayons cosmiques, chaque élément émet vers l’espace un rayonnement, sous forme de photons gamma, rayonnement dont le spectre (distribution de l’intensité relative en fonction de la longueur d’onde) est propre à l’élément chimique. Quelques éléments sont radioactifs (uranium, thorium et potassium) et émettent leur propre rayonnement gamma. Cependant, quelles que soient les origines de ces rayonnements gamma, chaque élément émet un rayonnement unique, que l’on appelle une « signature spectrale », discernable par spectromètre
 La croûte lunaire est recouverte d’une couche poussiéreuse appelée régolithe. La croûte et le régolithe sont inégalement répartis sur la Lune. L’épaisseur de régolithe varie de 3 à 5 mètres dans les mers, jusqu’à 10 à 20 mètres sur les hauts plateaux. L’épaisseur de la croûte varie de 0 à 100 kilomètres selon les endroits. Au premier ordre on peut considérer que la croûte de la face visible est deux fois plus fine que celle de la face cachée. Les géophysiciens estiment aujourd’hui que l’épaisseur moyenne serait autour de 35-45 kilomètres sur la face visible alors que jusqu’aux années 2000 ils pensaient unanimement que celle-ci faisait 60 kilomètres d’épaisseur. La croûte de la face cachée atteint, elle, environ 100 kilomètres d’épaisseur maximum
 Les innombrables impacts météoritiques qui ont ponctué l’histoire de la Lune ont fortement modifié sa surface, en creusant de profonds cratères dans la croûte. La croûte pourrait ainsi avoir totalement été excavée au centre des bassins d’impact les plus profonds. Cependant, même si certains modèles théoriques montrent que la croûte a entièrement disparu par endroit, les analyses géochimiques n’ont pour le moment pas confirmé la présence d’affleurements de roches caractéristiques du manteau.

Géographie Lunaire :
 La surface de la Lune n’est pas uniforme de part le temps  les hommes purent distinguer de grandes taches sombres qu’ils prirent pour l’équivalent de leurs océans terrestres et auxquelles ils donnèrent le nom  (mers). En réalité, ces étendues de régolithe ont une concentration supérieure de basalte, d’origine volcanique, et sont très inégalement réparties sur la surface lunaire, leur grande majorité se situant sur la face visible, la face cachée n’en ayant que quelques-unes, et de taille beaucoup plus réduite. Le reste de la surface lunaire est constitué par de grands plateaux recouverts de régolithe moins dense en basalte et donc beaucoup plus réfléchissant. Autre relief ponctuant la géographie lunaire, les multiples cirques et cratères, créés par les impacts de météorites de tailles diverses.

Phases :
la Lune présente toujours quasiment la même partie de sa surface vue de la Terre : la face dite « visible ». Mais la moitié de la sphère éclairée par le soleil varie au cours des 29,53 jours d’un cycle synodique, et donc la portion éclairée de la face visible aussi. Ce phénomène donne naissance à ce que l’on appelle les phases lunaires

Librations :
La Lune présentant toujours le même hémisphère à la Terre (sa rotation étant synchrone, c’est-à-dire sa période de révolution étant égale à sa période de rotation), on appelle librations les phénomènes permettant à un observateur à la surface de la Terre de voir plus de 50 % de la surface de la Lune.
Ces phénomènes peuvent prendre quatre formes : les librations en longitude, les librations en latitude, les librations parallactiques et les librations physiques.
L’ensemble de ces phénomènes de libration au cours de lunaisons successives permet d’observer environ 59 % de la surface lunaire depuis la surface terrestre. Toutefois, les zones supplémentaires ainsi offertes à l’observation sont très déformées par l’effet de perspective, et rendent difficile l’observation de ces régions depuis le sol.

Eclipses solaires et Lunaires :

Par une coïncidence extraordinaire, vue de la Terre, la taille apparente de la Lune est presque exactement identique à celle du Soleil, si bien que deux sortes d’éclipses solaires sont possibles selon l’éloignement de la Lune : totale et annulaire, selon que la Lune en étant plus proche cache totalement le Soleil, ou qu’elle soit plus loin et alors la bordure du Soleil reste visible, l’éclipse est alors annulaire. Les éclipses ne se produisent que rarement puisque le plan de la trajectoire de la Lune autour de la Terre est différent du plan de la trajectoire de la Terre autour du Soleil. Elles ont lieu uniquement quand un nœud coïncide avec la nouvelle Lune. Celle-ci couvre alors le Soleil, en tout ou en partie. La couronne solaire devient visible à l’œil nu lors d’une éclipse totale.

Une éclipse Lunaire : la Terre qui sert de cache et son ombre portée sur la Lune est alors observée de nuit à partir de la Terre ; pour quelqu’un résidant sur la Lune, cela sera qualifié d’éclipse de Soleil produite par la Terre servant de cache.

P.L.T.
Un phénomène lunaire transitoire (PLT), terme créé en 1968 par l'astronome sir Patrick Moore (LTP, Lunar Transient Phenomena) consiste dans l'apparition d'une lumière ou d'une modification d'aspect de la surface lunaire pendant une courte durée.
Des signalements de tels phénomènes remontent à plus de mille ans, certains d'entre eux ayant fait l'objet d'observations indépendantes de multiples témoins ou de scientifiques de bonne réputation. Historiquement, le premier LTP observé par cinq moines de la cathédrale de Canterbury est un flash lumineux qui se produit le 18 juin 1178 et est à l'origine du cratère Giordano Bruno. Cependant la majorité des rapports de PLT ne sont pas reproductibles et ne s'accompagnent pas des témoignages vérifiables adéquats permettant d'établir un distinguo entre différentes hypothèses envisageables. Par surcroît, peu de ces phénomènes ayant fait l'objet de publications dans des revues scientifiques à comité de lecture, la communauté des chercheurs s'intéressant à la Lune évoque rarement ces observations. Ainsi, seuls 2 % des rapports d'observation (53 sur 2 806) rédigés entre les années 1700 et 2010 sont considérés comme de véritables LTP3.
Si les LTP se produisent sur la Lune, leur origine a été attribuée en 1945 par Hugh Percy Wilkins, un astronome amateur gallois, à l'activité solaire. Les hypothèses privilégiées aujourd'hui sont le dégazage le long de fissures lunaires, la formation de décharges électriques au sein de ces gaz (par effet triboélectrique) ou les impacts qui se produisent sur des échelles de temps géologiques. La plupart des scientifiques qui étudient la Lune admettent que des phénomènes transitoires de dégazage ou d'impacts se produisent sur des échelles de temps géologiques ; la discorde apparaît sur les fréquences de ces événements.

Merveilleux et unique satellite qu' est notre Lune ! Elle nous offre un spectacle magique avec ses cratères et ses "mers" !!
Voici un échantillon des mes clichés lunaires :




























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